Prise en flagrant délit, Galina a d’abord nié les faits avant d’avouer à la police qu’elle avait tué le chien sans défense avant de le cuire et de le manger.
D’après une source crédible, Nika a été battue à mort avec une barre de fer.
La directrice du refuge, Irina Savitskaya, a déclaré que Galina n’avait pas « le moindre sentiment de honte » et considère qu’elle mérite une peine de prison pour les sévices infligés à l’animal. Pourtant, la femme cruelle et son mari avaient l’air sincères lorsqu’ils s’étaient rendus au refuge. Nika était chaleureuse en les accueillant et ils l’ont tout de suite aimé. « Elle m’a donné les détails de son passeport, a conclu un contrat, a pris le chien et a mangé son animal le soir même », s’est exclamé la directrice du refuge. Elle a déclaré que la femme ne s’inquiétait pas de ce qui allait lui arriver puisque pour elle personne ne la mettra en prison « pour un chien ».
La maltraitance animale : un fléau qui persiste
Les animaux domestiques ont des besoins primaires qu’ils doivent satisfaire pour assurer leur bien-être. En raison de leur incapacité à s’exprimer et à répondre à certains besoins, ils restent soumis aux hommes. Ainsi, lorsqu’un individu adopte un animal, il se doit de lui procurer de la nourriture, de l’eau et un espace de vie adapté aux besoins de son espèce. Mais la cruauté dont peuvent faire preuve certains individus les poussent aux pires comportements. Un homme peut mutiler, massacrer, séquestrer ou encore tuer un animal sans l’ombre d’un remord. Si pendant de nombreuses années, ces actes passaient inaperçues, ils sont aujourd’hui passibles de sanctions pénales. Les actes de privation d’eau, de nourriture, de soins qui peuvent mettre à mal le bien-être de l’animal sont répréhensibles par la loi. Aussi, la séquestration, les dispositifs d’attache et les conditions de vie qui engendrent une souffrance à l’animal sont passibles de sanctions pénales.
Source : Santeplusmag