Après la réalisation de l’autopsie, les résultats ont montré que la fillette souffrait d’une infection au papillomavirus humain, sexuellement transmissible, et qu’il y avait des traces d’alcool dans son sang. Ces deux faits ont permis de révéler des vérités encore plus ignobles : la mère de la victime, censée la protéger était la cause de tout son calvaire : elle contactait des hommes sur internet pour venir abuser de sa fille. Elle a même avoué que sa fille avait été violée, chaque jour pendant tout un mois, par de nombreux hommes. Elle a également ajouté que sa fille était décédée d’une surdose de méthamphétamine, une drogue puissante, alors que les tests de toxicologie n’ont reporté la présence d’aucune trace de cette dernière mais plutôt celle d’un taux d’alcool très élevé, pouvant causer des handicaps physiques et mentaux.
Aujourd’hui, la mère, son petit-ami et la cousine de ce dernier sont accusés d’enlèvement et d’abus sur mineur menant au décès, et les deux derniers sont également accusés de viol sur enfant. Plaidant non-coupables, les trois ont été arrêtés, en attendant leur jugement.
En attendant que la sentence prononcée à leur égard soit juste et qu’ils soient sévèrement punis pour leurs actes, nous devons tous être vigilants et ne pas hésiter à déclarer à la police d’éventuels abus dont pourraient être victimes des enfants, même si celui qui les commet est un proche ou un parent de ceux-ci. Il est de notre devoir à tous de protéger les petits, faibles et sans défense, et d’éviter que ce genre d’événements horribles n’ait encore lieu.
Source : Santeplusmag