Nombre de retraités vivent avec 400€/mois, les migrants ont le gîte, le couvert, et 513€/mois.
Une nation préférant l’étranger aux siens, voilà ce qu’est devenue la France de 2015. Un pays où l’autochtone pour ne subir ni brimades ni humiliations se doit de s’assimiler à l’autre. Son identité et son éducation française sont bannies car haïes par la horde de primo-arrivants déchainés venant des contrés où l’obscurantisme est érigé en culture d’Etat.
Nos pouvoirs publics complices laissent faire, pire ils accentuent ce sentiment. Et plutôt que de se taire, nos pouvoirs publics ont l’outrecuidance de culpabiliser l’indigène français. Ce dernier est ainsi coupable de racisme, d’antisémitisme, d’islamophobie, de sexisme et de l’ensemble des maux que notre société moderne définit comme lutte prioritaire. Il doit donc payer pour tous ces crimes qu’il n’a pourtant même commis.
C’est la préférence étrangère écrite dans le marbre idéologique de nos élites mondialisées, et cela malgré leurs dénégations. Ainsi pour nos gouvernants ces impressions ne sont que des vus de l’esprit elles n’existent pas. Ce sont des fantasmes de l’extrême-droite jouant avec les peurs des français. Pire pour décrédibiliser le discours de nombre d’éminents intellectuels tels de Benoist ou Camus, on définit toute ces personnes du nouveau mot à la mode « complotiste ». Donc 68 % des français ayant répondu au sondage Ifop pour Atlantico dont voici le lien (http://www.atlantico.fr/rdv/politico-scanner/68-francais-pensent-qu-on-en-fait-plus-pour-immigres-que-pour-eux-jerome-fourquet-ifop-1989244.html) sont visiblement d’affreux complotistes ou de méchants xénophobes abrutis par les discours populistes comme ceux de La Gauche M’a Tuer ne comprenant la souffrance de pauvres immigrés quittant père et mère pour avoir une vie meilleur.
Seulement pouvons-nous donner tort à tous ces français qui voient l’Etat mettre en place une flagrante politique de « préférence étrangère » ? Bien-sûr que non. Tout le démontre. A commencer par les successives politiques de la ville à coups de dizaines de milliards d’€, ou de la discrimination positive en veux-tu en voilà dans l’ensemble des administrations ou des grandes écoles. Sans oublier, les déclarations officielles des ministres annonçant des emplois, ou des centres de formation prioritairement aux français de papier des banlieues. Et des exemples comme ceux-ci ils en existent plein d’autres que cela soit dans le domaine des allocations familiales, rentes de travail ou l’argent coulant à flot pour les associations antiraciste. Je ne pourrai pas tout citer sans avoir à rédiger plusieurs bouquins de quelques tomes.
Le Président de la République lui-même se prosterne face à l’obligation de subventionner l’étranger arrivé hier sur notre sol, tel ses 3500 syriens régularisés. Bientôt rémunérés par l’allocation temporaire d’attente (Ata) de 513 € par mois pour une personne seule et recevant gratuitement sans condition ni cotisation accès au logement, couverture maladie, RSA, prestations familiales assimilés, et pour les plus vieux retraites.
En comparaison d’Adrien retraité Français de 79 ans, ayant travaillé toute sa vie et ne touchant que 400€/mois. Comment appelle-t-on cela si ce n’est pas de la préférence étrangère ?
Donc oui je donne raison à ces 68% de français, je suis même surpris qu’ils ne soient pas plus nombreux. Ce n’est pas prêt de s’arranger nos collectivités locales, Paris en tête construit des refuges pour clandestins seuls et laisse mourir ses SDF locaux. Un pays qui n’aide pas les siens, est un pays qui meurt à petit feu, c’est malheureusement ce qui nous attend à l’avenir si nous laissons faire. Mais voulons-nous réellement changer cet état de fait ? Parfois j’en doute.