Une fillette de 4 ans violée par un infirmier et quatre autres personnes dans un hôpital.

Quelle histoire horrible! On ne sait vraiment pas ce qui traverse l’esprit de gens qui font des choses aussi terribles à de jeunes enfants. C’est franchement dégueulasse.

Une fillette de quatre ans était aux soins intensifs d’un hôpital depuis quatre jours pour se faire soigner pour une morsure de serpent. Mais la jeune fille a plutôt été victime d’un viol collectif de son infirmier et de quatre autres personnes.

La fillette a dit à sa grand-mère qu’elle a été violée par l’employé de l’hôpital et quatre autres personnes, samedi soir, a expliqué le porte parole de la police Mahesh Srivastava.

Le policier a aussi confirmé qu’un homme avait été arrêté et que les quatre autres personnes impliquées étaient toujours recherchées pour le moment.

Quand la fillette a été agressée à l’hôpital près de Lucknow, la capitale d’Uttar Pradesh, en Inde, elle était toute seule. Il n’y avait donc personne pour témoigner en sa faveur, mais les policiers ont tout de même préféré croire la petite sur parole. Ils ont demandé les images de la caméra de surveillance pour essayer de déterminer ce qui a pu se passer et pourquoi la petite fille avait été laissée seule aux soins intensifs.

Ce n’est pas la première fois qu’une histoire de viol bouleverse le pays.

Jyoti Singh, une étudiante en kinésithérapie de 23 ans, a été violée par six hommes dans un autobus, en décembre 2012. Elle a aussi été agressée sexuellement avec une barre de fer rouillée et elle est morte de ses blessures quelques jours plus tard.

« Je supporte la peine de mort pour les violeurs de Delhi, mais il devrait aussi y avoir une loi selon laquelle les femmes ne devraient pas porter moins de vêtements et ne devraient pas sortir avec des garçons qui ne sont pas de leur parenté. Quelle est la nécessité de se promener la nuit avec des hommes qui ne sont pas de la famille ? On devrait mettre fin à ceci », avait déclaré Abu Asim Azmi, président du parti Maharashtra Samajwadi.

« Avant, si hommes et femmes se tenaient par la main, ils se seraient fait attraper et réprimander par leurs parents, mais maintenant tout est si ouvert. C’est comme un marché ouvert avec des options ouvertes », avait dit pour sa part Mamata Banerjee, la ministre en chef du Bengale-Occidental.

« Pourquoi les femmes au foyer et les étudiantes ont-elles besoin de téléphones portables ? Ça les encourage à des conversations futiles et à prendre contact avec des gens hors de leur foyer », avait commenté le parlementaire Rajpal Saini.

Wikipédia souligne que les choses ne se sont pas arrêtées là.

« Après le viol de New Delhi, le parlement indien avait durci les lois concernant les sanctions contre les auteurs de violences sexuelles. Néanmoins, le 20 janvier 2014, dans un village nommé Subalpur situé dans l’État du Bengale-Occidental, une jeune femme de 20 ans a subi le viol collectif de sa communauté après une sentence rendue par le chef du village. La victime, célibataire, avait été aperçue accompagnée d’un jeune homme issu d’un village voisin, avec qui elle entretenait une relation amoureuse. Toutefois, l’idylle a bouleversé le chef du village qui s’est empressé d’établir un conseil coutumier local. La jeune femme et son partenaire ont été ligotés à un arbre tout au long du débat entretenu par le conseil qui devait rendre son verdict sur l’avenir de ces derniers. Une fois la sanction rendue, les deux accusés devaient payer respectivement une amende de 27000 roupies soit environ 317 euros pour être libérés. Le jeune homme s’est engagé à acquitter la somme tandis que la famille de la jeune indienne a annoncé ne pas pouvoir payer. Le chef aurait alors autorisé des villageois à violer collectivement la jeune femme. »

Et depuis, on entend parler de viols en Inde presque toutes les semaines.

 

Source: Daily Mail
Crédit Photo: iStock

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