Gérer les finances à deux n’est pas toujours facile. Pour simplifier les choses, certains couples décident qu’un seul d’entre eux sera en charge des dépenses. Si cette décision peut s’avérer salutaire, elle peut également donner lieu aux pires situations. En guise d’exemple, World of Satire, réputé pour ses récits rocambolesques, relaie l’histoire d’une femme qui aurait payé la moitié du loyer pendant 8 ans, sans savoir que son petit-ami était propriétaire de leur maison.

Dans un contexte où la confiance est cruciale, nombre de personnes souffrent de relations malhonnêtes. Sans se douter qu’elles ont affaire à une personne sournoise, elles finissent par payer les pots cassés de cette relation malsaine. Et World of Satire l’illustre parfaitement dans son article.

Elle payait 382 euros par mois

Le site américain partage le récit fictif d’une femme âgée de 41 ans qui, accordant toute sa confiance à son compagnon, a passé des années à ses côtés sans savoir qu’elle se faisait financièrement arnaquer.

Dans cette histoire ahurissante, la femme prénommée Laura a été victime d’une escroquerie complètement inattendue. N’ayant aucune raison de douter de son compagnon, elle a passée huit longues années à lui donner sa part du loyer, soit 382 euros chaque mois.

Son compagnon lui aurait délibérément menti en prétendant que la maison où ils vivaient ensemble appartenait à un ami de la famille, ce qui leur permettait de louer moins cher qu’ailleurs. En réalité, il était propriétaire de la maison où il avait emménagé avec Laura après l’avoir héritée de ses parents.

Au total, Laura a versé à son petit ami la somme de 43 200 dollars au fil des années, soit un total de 36 638 euros !

La confiance se construit dans un couple

La morale de cette histoire satirique met l’accent sur un problème qui lui est bien réel à savoir : la confiance que l’on accorde à l’autre et les personnes qui n’en sont pas dignes. Cette dernière est une valeur fondamentale en amour et il est important de la construire sur des bases saines pour éviter toute mauvaise surprise, comme World of Satire le met en avant.