Un braconnier qui chassait des rhinocéros se fait piétiner à mort par un éléphant puis dévorer par des lions
Si l’expression « l’arroseur arrosé » devait avoir une illustration cela pourrait être cette histoire qui nous vient d’Afrique du Sud où un braconnier qui chassait des rhinocéros s’est fait piétiner à mort par un éléphant puis dévorer par des lions. C’est ce qu’on appelle se faire prendre à son propre jeu.
C’est le Mirror qui rapporte cette nouvelle qui va vous donner la chair de poule sans mauvais jeu de mots. En effet, en Afrique du Sud, dans le célèbre Parc national Kruger, un braconnier qui chassait des rhinocéros s’est fait piétiner à mort par un éléphant puis dévorer par des lions. Il était entré sans autorisation dans le parc avec certains de ses collègues braconniers. Apparemment ils étaient à pieds et n’avaient pas vraiment de véhicules à disposition. Il faut dire que la plupart du temps les activités des braconniers sont illégales et ils doivent donc faire preuve de discrétion pour ne pas attirer l’attention.
Pour celles et ceux qui ne sont pas familiers avec le Parc national Kruger, Wikipédia rappelle qu’il s’agit « de la plus grande réserve animalière d’Afrique du Sud. Il couvre près de 20 000 kilomètres carrés, est long de 350 km du nord au sud et large de 60 km d’est en ouest, ce qui rend sa taille comparable à celle d’Israël ou celle du Pays de Galles ». Vous l’aurez donc compris, il s’agit donc d’un terrain de jeu énorme où il peut se passait beaucoup de choses: le meilleur comme le pire.
D’après les informations relayées par le Mirror, le braconnier en question se serait donc fait piétiner par un éléphant puis son corps mort aurait été dévoré par des lions qui n’auraient fait qu’une bouchée ou presque du cadavre du braconnier. Apparemment, il ne restait pas grand-chose après le passage des fauves.
Ce qui est triste dans cette histoire, c’est que le braconnier laisse des enfants derrière lui qui vont donc grandir sans la présence de leur père, relate le Mirror. Malheureusement, cela fait partie des risques du métier et parfois c’est le chasseur qui se fait chasser. Il faut dire que dans la nature, la plupart du temps c’est chacun pour soi et personne ne se fait de cadeau.
Source: Mirror
Crédit Photo: Unsplash