Les images de l’agression ont provoqué l’émoi de la toile
Après publication de ces photos, un bon nombre d’internautes s’est mobilisé pour soutenir ce petit-fils accablé par la tristesse. « C’est choquant ! Pauvre grand-mère… J’espère qu’elle va bien maintenant » s’émeut un utilisateur de Facebook. « C’est horrible » « Pourquoi n’y a-t-il pas eu de poursuites. Je suis vraiment désolé de ce qui est arrivé à cette belle âme. Prières pour elle et votre famille pour lui rendre justice ». Si ce proche n’a pu porter plainte contre l’agresseur, c’est parce qu’il est qualifié de « mentalement incapable » même s’il a espoir que cette allégation soit contestée par les enquêteurs. Il explique que des vidéos de surveillance prouvent ces crimes. La victime souffre aujourd’hui de nombreuses séquelles psychologiques dont un syndrome post-traumatique, une souffrance qui impacte également le corps. « Elle ne fait plus confiance aux infirmiers et a besoin de trois à quatre infirmières pour prendre soin d’elle » témoigne l’auteur de la publication qui a été motivé à partager son témoignage après avoir entendu parler d’un autre incident ayant eu lieu dans cette même maison de retraite. Dans une autre maison de retraite, des enfants ont installé une caméra de vidéosurveillance dans la chambre de leur mère et ils seront stupéfaits de ce qu’ils verront.
Une histoire similaire à celle de cette grand-mère
Si le résident qui a agressé sexuellement la grand-mère n’a pas de passif criminel, cette histoire ressemble à celle évoquée ci-dessus. Cette fois, la maison de retraite a été complice dans la mesure où ce pensionnaire était reconnu comme un prédateur sexuel. Relayé par nos confrères du site britannique Metro, ce témoignage évoque un fait divers glaçant. Robert Carpenter, le résident coupable de plusieurs viols agresse sexuellement une femme atteinte de démence. Le criminel avait été libéré sous caution et le juge avait trouvé cette relaxe dérangeante. Un jugement qui s’avérera vrai puisque le casier judiciaire du sexagénaire remonte à 1968. Robert Carpenter avait violé une femme pendant qu’elle allait au travail. Le mari résident de la maison de retraite est affligé par ce crime. « Je continue à culpabiliser. C’est l’amour de ma vie. C’est mon rôle de la protéger et je l’ai laissé tomber » s’attriste l’époux de la pensionnaire agressée par un homme sans cœur.