En vérité, les proches de la défunte ont révélé que Alexis Armando Rojas-Mendez n’était pas le père biologique du garçon. En sus, les voisins ont affirmé que l’homme avait déménagé quelques mois avant ce meurtre, dans l’appartement d’Ashley et de ses enfants. Par ailleurs, un voisin a indiqué avoir été témoin d’une scène de violence la veille. D’après lui, Alexis aurait forcé sa conjointe à monter dans une voiture.
Lorsque la femme a refusé, il l’a traînée dans les escaliers jusqu’au troisième étage où se trouvait leur appartement, avant de la violenter de manière impitoyable.
Les conséquences des violences conjugales
En France, une étude nationale menée par le ministère de l’Intérieur a indiqué qu’en 2018, ce sont 121 femmes et 28 hommes qui ont été tués par un partenaire ou un ex-partenaire. D’après nos confrères du Figaro, la violence conjugale entraîne des conséquences physiques dévastatrices.
Les lésions traumatiques représentent la principale conséquence observée chez les victimes. “Érosions, ecchymoses, hématomes, contusions, plaies, brûlures, morsures, traces de strangulation, mais aussi fractures, sont les principales lésions retrouvées”, révèle un rapport du professeur Henrion, membre de l’académie nationale de médecine.
Par ailleurs, ce traumatisme psychologique se manifete chez les victimes en causant une perte d’estime de soi, un repli sur soi, une dépression et/ou des tentatives de suicide.