En période de pandémie, existent des héros sans cape à l’heure où tout le monde cède aux sirènes de la crainte. Ces professionnels se chargent de votre denrée la plus précieuse : votre santé. En faisant fi des risques de ce virus mortel, ils prouvent qu’il s’agit des véritables braves du coronavirus. Et pour cause, ils n’hésitent pas à transcender le danger et à s’exposer à tous les risques car il s’agit de médecins et d’infirmières. Mobilisés pour guérir les personnes contaminées, ils avancent masqués et non sans héroisme pour apaiser cette période délicate que nous tentons tous de surmonter. Hommage à ces hommes et femmes qui ont fait de la santé une bataille acharnée, et ce, au péril de leur vie.

A l’heure où le coronavirus affole et est à l’origine d’un nombre de morts affolant, les médecins et les professionnels de la santé tiennent leur rôle à cœur. D’ailleurs, ils exhortent le public de rester chez eux comme ils n’hésitent pas à affronter ce virus tueur pour nous. Sans conteste, ce sont les véritables héros de cette situation de crise mondiale. Pour leur rendre honneur, il est essentiel de respecter leur mise en garde afin que ces derniers puissent contrôler la situation. Il s’agit d’un devoir citoyen lorsque chaque comportement compte face au Covid-19. Cette dévotion force le respect mais également la collaboration avec ceux qui ont juré en citant Hippocrate.

Sacrifier leur vie

Pour sauver des vies en péril, il n’est pas rare que les médecins et les infirmières bravent le danger. Et pour cause, cette bravoure fait partie de leur vocation, qu’ils jurent devant Hippocrate une fois leur doctorat obtenu. Ce discours les soumet à l’éthique, l’intégrité et le devoir de soigner quelle que soit la condition du patient. Une passion pour laquelle on meurt parfois, et ce, plus particulièrement quand le coronavirus a touché plus de 150 pays. Comme en témoigne une infirmière dans un message bouleversant sur RMC, “Je suis persuadée que si on teste tous les patients et le personnel médical, plus de la moitié sera positive”. Des conditions difficiles où la femme confie que pendant 10 heures, elle est en contact avec des malades qui lui crachent ou toussent dessus. Pour l’infirmière, “On n’a pas le droit de retrait, ça fait partie de notre conscience, on y va”, toutefois, elle en appelle à la responsabilisation et à la solidarité des Français pour respecter les règles imposées et rester chez eux.