Un homme qui prétend être venu de l’an 6491 passe le détecteur de mensonges avec succès.

On a tous une histoire intéressante à raconter dans la vie, mais disons que celle de James Oliver est plutôt difficile à battre.

C’est que voyez-vous, James Oliver affirme qu’il provient de l’an 6491 et qu’il est maintenant prisonnier de 2018.

Évidemment, comme bien d’autres personnes, vous vous dites certainement qu’il ne s’agit là seulement d’un autre fou auquel les médias s’intéressent, or voilà que l’homme est parvenu à passer avec succès le test du détecteur de mensonges…

L’homme qui raconte venir en provenance de plusieurs siècles dans le futur avait piqué la curiosité de plusieurs experts en activités paranormales et même ceux-ci doutaient totalement de l’authenticité de son histoire.

Toutefois, les résultats obtenus par Oliver lors de son passage devant le détecteur de mensonges ont complètement dérouté tous les spécialistes.

Oliver a expliqué dans une vidéo que notre conception du temps était très différente de celles des gens du futur dont Oliver prétend appartenir.

Selon Oliver, les années dans le futur sont beaucoup plus longues que les nôtres.

Oliver explique qu’il ne vient pas de la Terre, mais d’une autre planète qui sera habitée par les humains. Ainsi, comme la planète est plus éloignée du soleil, c’est ce qui expliquerait pourquoi les années seraient plus longues dans le futur.

Si l’on en croit les propos d’Oliver, il semblerait que dans un futur lointain, nous aurons découvert beaucoup de nouvelles espèces et même des nouvelles planètes.

Toutefois, Oliver nous met en garde comme quoi le futur ne sera pas rose pour autant. Le prétendu homme du futur raconte donc que plusieurs combats et défis attendent l’humanité au cours des prochains siècles.

Oliver a aussi mis en lumière une certaine « fédération » qui s’occupera de contrôler les risques de conflits afin de s’assurer que ceux-ci ne dégénèrent jamais au point de déclencher de nouvelles guerres aux conséquences inimaginables.

Il compare cette fédération à une espèce de version des « Nations Unies », mais à une échelle interplanétaire.

Sinon, Oliver affirme que dans ce futur d’où il vient, il est très banal de connaître des personnes provenant d’autres planètes et que le terme d’extra-terrestre n’a plus le sens qu’on lui donne de nos jours.

Puis, quand on l’interroge sur le prochain président des États-Unis, Oliver explique ne pas avoir le droit de livrer certaines informations afin de ne pas changer le cours de l’histoire.

En tout cas, si ce qu’Oliver raconte est vrai, il faudra s’attendre à ce qu’un jour, tout le monde ait son propre système d’intelligence artificielle qui leur permettra notamment de communiquer en temps réel avec tout le monde, peu importe leur langage.

 

Source: DailyMail
Crédit Photo: Courtoisie

...