La mère qui a laissé son mari violer sa fille et la mettre enceinte à 3 reprises n’a aucun remord.
On connaît maintenant le visage de la mère qui a laissé sa fille subir trois grossesses alors qu’elle savait très bien que son conjoint la violait.
La mère de 50 ans est une femme nommée Mary-Louisa Andrews et elle est originaire de Milton Keynes. Selon ce qui a été découvert par les enquêteurs, Andrews aurait décidé d’ignorer les multiples signalements de sa fille, car elle craignait que cela mette un terme à sa relation avec l’agresseur.
Étant donné la négligence de la mère, celle-ci risque maintenant d’être condamnée à trois ans de prison.
Son conjoint, le beau-père de la victime, Anokye Andrews, qui a 44 ans et qui est lui aussi originaire de Milton Keynes, a été condamné cette semaine à 20 ans de prison pour avoir agressé sa belle-fille de l’âge de 9 ans à 16 ans.
Le beau-père et sa conjointe ont pu être identifiés, car la victime est aujourd’hui âgée de 28 ans et celle-ci a décidé de sortir de l’anonymat afin de dévoiler son histoire au grand jour.
Le journal The Sun rapporte que le père de Mary-Louisa Andrews a déclaré ne plus jamais vouloir revoir sa fille.
Le frère de la mère, Stefan Gray, a expliqué pour sa part: « Évidemment que si j’avais su ce qui se passait dans cette famille, je l’aurais certainement frappée. C’est choquant. J’adore ma nièce de tout mon coeur et mon père aussi. Nous sommes dévastés d’apprendre que tout ça s’est produit sans qu’on ne se soit jamais douté de quoi que ce soit. »
Cette semaine, lors de l’annonce de la sentence du beau-père, la mère avait fondu en larmes en apprenant qu’il était condamné à 20 ans de prison.
La mère avait expliqué avoir souffert d’une crise de panique lors de l’annonce de sa sentence et la comparution avait dû être reportée.
Même si la mère avait confié ressentir des remords quant à sa négligence, le juge Francis Sheridan a déclaré qu’il ne la croyait pas.
Disons qu’elle mérite amplement de passer les trois prochaines années en prison…
Source: Mirror
Crédit Photo: Courtoisie