Savez-vous pourquoi les bébés des femmes mendiantes dorment tout le temps ?

Vous vous avez demandé pourquoi les bébés des femmes mendiantes dormaient tout le temps?

« Vous avez sûrement déjà vu des femmes mendiantes dans la rue, aux feux rouges, qui tenaient un bébé endormi dans leurs bras. Vous vous êtes peut-être déjà demandé pourquoi elle mendiant avec cet enfant très jeune, et toujours endormi…

« À côté du métro se trouve une des nombreuses femmes mendiantes. On dirait qu’elle vient d’un autre âge. Ses cheveux et sa tenue sont sales, elle semble très triste. Cette femme est assise à même le sol, et à côté d’elle se trouve une sorte de boîte, dans laquelle les gens jettent quelques pièces. Dans ses bras, se trouve un enfant qui a au maximum 2 ans. Il dort. Nous ressentons tous de la compassion pour ce triste spectacle de pauvreté et de dénuement extrême. Nous sommes prêts à donner toutes nos pièces pour avoir le sentiment d’avoir accompli une bonne action.

Je suis passé à cet endroit très souvent. Je ne donne pas d’argent, parce que ces femmes mendiantes sont souvent recrutées par un gang, et les sommes perçues par les mendiantes sont données à la personne qui les exploite. Ces trafiquants possèdent des biens immobiliers dans des pays étrangers et des voitures de luxe. Ah, bien sûr, la mendiante obtiendra bien quelque chose, une bouteille ou un kebab pour la soirée…

Un mois plus tard, j’étais à ce carrefour très fréquenté et je regardais cet enfant habillé avec toujours les mêmes vêtements. J’ai tout à coup réalisé qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas avec cet enfant qui est toujours là, à la station de métro du matin au soir. L’enfant dormait toute la journée. Jamais il ne criait ou pleurait, son visage était un peu caché sur les genoux de cette femme qui était certainement sa mère.

Vous avez  des enfants ? Souvenez-vous combien d’heures ils dorment vers cet âge là… Une heure, deux, maximum trois, et rarement sans interruption. Peut-être aussi une petite sieste l’après-midi… Mais là, pendant tout le mois, chaque jour quand je suis passé par là, je n’ai jamais vu cet enfant réveillé ! J’ai regardé le petit garçon avec plus d’attention, plus tard, et j’ai eu des soupçons.

– « Pourquoi est-il encore endormi ? » Ai-je demandé à la mendiante.

Elle a marmonné quelque chose que je n’ai pas compris, baissé ses yeux et enfoui son visage dans le col de son manteau.
Je répète la question. La femme regarda de nouveau. Elle avait l’air ailleurs, fatiguée et bouleversée.
« Merde ! »… a-t-elle a marmonné.
Je repose ma question avec insistance, à haute voix :
– « Pourquoi dort-il? »
Quelqu’un derrière moi posa une main sur mon épaule. J’ai regardé derrière moi. J’ai vu un regard de désapprobation :
– »Que lui voulez-vous? Avez-vous vu comment la vie est dure pour elle ? »
Il tira de sa poche quelques pièces de monnaie et les jeta dans la petite boîte. Je parie que lorsqu’il rentrera chez lui, il racontera à ses proches son bon geste, et dira comme la femme est pauvre et malheureuse face à moi, cet homme sans pitié à l’entrée du métro.
Le lendemain, j’ai appelé un ami gitan. De mon ami, j’ai appris que cette affaire, apparemment « spontanée », est bien organisée. Elle est supervisée par des bandes organisées de mendiants. Les enfants sont empruntés aux familles d’alcooliques ou simplement faits pour être utilisés pour la mendicité.

Je n’en revenais pas:
– « Les enfants sont drogués, on leur donne des médicaments, ou de l’alcool ! »
J’ai été choqué.
« Comment ça, des médicaments ? Ou de l’alcool ? »
Il me répond :
« Pour que l’enfant ne pleure pas, et qu’il ne crie pas. La femme sera assise là avec lui toute la journée, imagine comment il doit s’ennuyer ! L’enfant dort toute la journée, rempli d’alcool ou de médicaments. Bien sûr ce petit corps n’est pas capable de résister à un tel choc. Les enfants meurent quelques fois. Le plus effrayant est que les enfants meurent parfois pendant le « travail de jour ». Une femme qui imite une mère doit garder le bébé mort dans ses bras jusqu’au soir. Ce sont les règles. Et les passants vont jeter de l’argent dans la boîte et croiront que leur comportement est moral. Ils pensent aider une mère célibataire.»

Le lendemain, je voulais en avoir le cœur net. J’ai demandé à une personne de m’accompagner, et j’étais prêt pour une conversation sérieuse. Mais la conversation n’a pas abouti. Voici ce qui s’est passé:
La femme était toujours là, assise sur le sol, tenant dans ses bras un enfant. Je lui ai demandé les papiers de l’enfant et, surtout, où était passé l’enfant d’hier, parce que celui qui était là, je ne l’ai pas reconnu. Elle m’ignorait, et ne voulait pas répondre.

Comme je parlais assez fort, les passants m’ont entendu. Ils m’ont dit que je n’étais pas charitable, et que j’étais un pauvre idiot de ne pas voir la misère de cette personne avec son enfant.. En fin de compte, j’ai eu le sentiment d’être le « méchant », face à des gens qui eux, sont les bons. La seule chose qu’il me restait à faire était d’appeler la police. Lorsqu’elle est arrivée, la femme avec l’enfant avaient disparu. J’avais le sentiment de me battre contre des moulins à vent.

Si vous voyez dans le métro, dans la rue ou n’importe où une femme avec un enfant, pauvres et affamés, réfléchissez avant de donner un peu d’argent. Pensez-y, si ces milliers de personnes, qui pensent être charitables, ne donnaient rien, ce trafic n’existerait pas. Le gang qui est derrière tout cela n’exploiterait pas des bébés bourrés avec de l’alcool ou des médicaments. Ne regardez pas l’enfant qui dort avec compassion, parce que vous regardez l’horreur d’un nouvel esclavage… Si vous lisez cet article alors vous savez maintenant pourquoi l’enfant entre les bras de la mendiante dort toujours.»

Si vous cliquez sur « partager », vos amis liront l’article aussi et seront informés de ce drame. Et quand la prochaine fois vous voudrez ouvrir votre porte-monnaie pour jeter la pièce à un mendiant, rappelez-vous que cet acte de générosité peut coûter la vie à un autre enfant, parce que ce ne sont pas les personnes qui mendient qui profitent de votre charité. »

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